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Code de la route : avec Code’nGo!, l’examen n’a jamais été aussi facile

CODE DE LA ROUTE : AVEC CODE’NGO!, L’EXAMEN FACILITÉ !

2 avr. 2019 - 2 min

Les usages évoluent et avec eux la manière dont les candidats passent aujourd’hui l’examen du code de la route. Trois ans après l’adoption de la réforme lancée par l’Etat, c’est 99% des examens du code qui se font dorénavant chez des acteurs privés. Bureau Veritas figure parmi ces acteurs privés facilitant la vie de ceux désireux de pouvoir se lancer à l’assaut des routes.  

Une délégation de service public 

Pour l’État, ouvrir l’examen du code de la route à des délégations de service public, permet de détacher ses inspecteurs à la mission de passage de l’examen de conduite pratique. Le basculement de plus de ressources vers l’examen de conduite a permis de diminuer sensiblement les délais d’attente de passage. En parallèle, l’État a diminué de plusieurs semaines à 1 jour le délai pour passer son code. Les candidats ont la possibilité de s’inscrire jusqu’à 1h avant l’examen, comme c’est le cas directement en ligne sur www.codengo.fr. « Nous avons des lieux d’examens du code dans nos agences Bureau Veritas, mais également auprès d’enseignes franchisées (des tiers comme des courtiers en assurance par exemple, qui souhaitent utiliser des salles de réunion trop peu utilisées) que nous formons et équipons spécialement », explique Florent Maret, directeur du marché automobile de Bureau Veritas. Dans ces « corners » aux couleurs Code’nGo !, l’inscription et le paiement se font sur place, les résultats sont connus en 15 minutes, et en cas d’échec, le candidat peut tenter à nouveau sa chance dans l’heure… Un vrai gain de temps.

Une relation forte avec les professionnels du secteur

Pour accompagner au mieux ce changement, Code’nGo ! a noué une relation forte avec les auto-écoles et les syndicats professionnels. Pour répondre à leurs attentes, le portail accessible sur www.codengo.fr permet d’inscrire leurs candidats à un examen dans une salle Code’nGo !, effectuer les paiements, remplacer un candidat malade à la dernière minute... Depuis septembre 2018, les auto-écoles (premiers prescripteurs) peuvent par exemple s’inscrire en quelques minutes sur la plate-forme et inviter leurs candidats à s’y inscrire en ligne.  Un candidat qui fait toute sa formation au code en ligne peut également, tout en restant sur ce site, réserver une session d’examen Code’nGo ! en quelques clics, facturée 30€. L’idée originelle pour Bureau Veritas était d’apporter plus de confort et une expérience fluide aux candidats et aux prescripteurs. Le pari est aujourd’hui gagné !

Florent
Maret

directeur du marché automobile

de Bureau Veritas

Nous sommes en discussion avec des partenaires d’envergure nationale, pour accompagner la suite de notre déploiement

 

Code’nGo a de grandes ambitions

La solution Bureau Veritas, Code’nGo ! « opère » dans 180 salles dans l’Hexagone. En janvier 2019, 10 000 candidats  s’y sont rendus pour tenter de répondre aux fameuses 40 questions théoriques. C’est 10 fois plus que l’an passé à la même période et cela représente aujourd’hui 9% du marché. 

Mais Code’nGo !  voit plus loin ! « Nous sommes en discussion avec des partenaires d’envergure nationale, pour accompagner la suite de notre déploiement », explique Florent Maret. À terme, l’idée est de multiplier les « corners » dans des lieux marchands ou à fort passage et de se rapprocher des utilisateurs. Souvent les salles sont trop grandes par rapport au nombre de candidats à l’examen », précise l’expert. Une bonne raison pour réinventer les formats habituels. 

Les tablettes pour passer l’examen peuvent être déplacées, le routeur pour envoyer les réponses au ministère qui se charge de corriger les sessions peut être branché sur une autre connexion… Que ce soit dans un établissement scolaire ou sur les lieux du Service National Universel comme le gouvernement l’envisage, Code’Ngo ! pourra quoi qu’il arrive continuer d’assurer sa mission, au plus proche des candidats. « À terme, nous visons 15, puis 20% de parts de marché », conclut le directeur du marché automobile de Bureau Veritas. 

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