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Comment synthétiser des dossiers de plusieurs centaines de pages ? Pour faciliter la gestion des zones ATEX, Bureau Veritas a imaginé un dispositif innovant qui allie mapping et modélisation des installations en 3D… Un vrai atout pour les exploitants, les intervenants et les responsables QSE. Explications.

ATEX : une solution Bureau Veritas pour un meilleur pilotage

5 oct. 2022 - 2 min

Comment synthétiser des dossiers de plusieurs centaines de pages ? Pour faciliter la gestion des zones ATEX, Bureau Veritas a imaginé un dispositif innovant qui allie mapping et modélisation des installations en 3D… Un vrai atout pour les exploitants, les intervenants et les responsables QSE. Explications.

Le contexte

C’est une obligation réglementaire. Toutes les entreprises ayant des zones dites ATEX (pour ATmosphères EXplosives) sont tenues de respecter des dispositions strictes pour maîtriser les risques inhérents à ces espaces. Cela nécessite notamment une évaluation précise des risques d’explosion dans l’entreprise ainsi que des mesures de prévention associées, consignées dans le DRPCE (document relatif à la protection contre les explosions). « Selon les sites, le DRPCE peut compter plusieurs centaines de pages, explique Bruno Conte-Rossi, Responsable des Opérations QHSE – Bureau Veritas. Il s’agit donc d’un document particulièrement complexe à exploiter… C’est le point de départ de notre réflexion : imaginer une solution innovante pour s’approprier plus facilement les informations importantes qu’il contient. »

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Bruno Conte-Rossi, Responsable des Opérations QHSE

Notre solution 3D permet aux exploitants et aux responsables QSE de visualiser immédiatement la zone ATEX, reconstituée à partir d’images réelles prises sur site et compilées par un logiciel dédié.

Bruno Conte-RossiResponsable des Opérations QHSE

La modélisation 3D

La première solution proposée par Bureau Veritas consiste en une modélisation 3D des zones concernées. « Il est parfois difficile de se représenter la zone concernée, d’identifier la propagation des émanations de gaz invisible ou de matérialiser les secteurs potentiellement touchés en cas d’incident. Notre solution 3D permet aux exploitants et aux responsables QSE de visualiser immédiatement la zone ATEX, reconstituée à partir d’images réelles prises sur site et compilées par un logiciel dédié. »

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Les rapports ATEX

Comment retrouver facilement le bon paragraphe dans un rapport DRPCE de plusieurs centaines de pages ? Pour faciliter la tâche des équipes face à ce vrai « casse-tête », Bureau Veritas a élaboré un modèle de fiche synthétique indiquant l’ensemble des procédures à respecter, installation ATEX par installation ATEX. Quels risques associés en zone 1, quelles mesures prendre en zone 2, quels EPI porter... Sur une seule page, toutes les informations essentielles sont regroupées. « Un aide-mémoire pratique pour tous les intervenants, internes ou externes, qui doivent se rendre dans la zone concernée. Et un vrai pivot de culture sécurité ! » Élaborées avec le client, les procédures listées sont personnalisées et adaptées à la politique et à la communication sécurité de chaque entreprise.

Le mapping

Aboutissement de la modélisation 3D et des rapports, le mapping propose aux exploitants une carte interactive de leurs sites, répertoriant précisément chaque installation ATEX. Une synthèse particulièrement précieuse, notamment pour les sites industriels qui en comportent parfois plusieurs dizaines... Concrètement, il suffit de cliquer sur la zone souhaitée de la carte pour voir la modélisation 3D du zonage ATEX et accéder à sa fiche synthétique.

Les atouts

« Cette solution s’adresse aux services QSE ou aux donneurs d’ordres de sites industriels qui ont besoin d’une vision claire de leurs zones ATEX afin de maîtriser les risques pour les opérationnels et les intervenants. Véritable gain de temps et d’efficacité, elle facilite les évaluations préalables des risques (plan de prévention, analyse des risques avant travaux…), dimensionne le risque et permet de mieux se représenter des dangers invisibles à l’œil nu tels que des émanations explosives », conclut Bruno Conte-Rossi.

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